Ce fut un soulagement de sortir de cette mission et de nous retrouver dans les devoirs normaux. Le problème maintenant était comment vivre avec cela? Je parlais avec des vétérans ayant été au combat et vis certains des effets psychologiques du combat en première ligne. Je ne sais pas si quelqu'un parmi vous ici à vu le combat. Pas moi. J'espère que vous n'avez pas vu à cause de ce que j'ai vu de ses effets sur les autres; une chose brutale. Et pourtant, quelque chose là dedans y est similaire. Vous pesez l'humanité. Vous pesez votre propre pensée et vous pesez la pensée du monde, et vous dîtes où cela peut-il s'insérer, en quoi ceci correspond-il à ma pensée, à ma façon de vivre? Et bien, je n'ai pas de temps pour cela. Je n'ai pas les réponses. Je ne sais où aller chercher les réponses, alors je vais passer. Je vais juste continuer à vivre comme tous les autres. Il y a quelques centaines de millions de personnes qui vivent, qui ont du bon temps, et je peux faire la même chose, je peux me passer de cela, et ce n'est pas facile de se passer de cela. Non que vous le vouliez, mais quelque chose vous êtes arrivé. Vous avez été impliqué que vous le vouliez ou non, et vous maintenant qu'allez vous faire de ça?
Cela c'était juste la première partie, parce que le vrai test allait se produire. Pendant environ deux mois après que nous ayons été déchargés de la mission, nous commençâmes à nous imaginer que nous pouvions vivre avec cette chose. Nous 3, les deux autres pilotes et moi, nous en parlions assez souvent et en vînmes à la conclusion que nous ne pouvions beaucoup nous entraider. Les réponses n'étaient pas là. Il s'agissait juste d'opinion contre opinion. Nous trouvions juste confirmer ce que tous nous avions vu et entendu, mais où aboutit-on à partir de cela? Le Colonel ne voulait pas nous parler. Deux mois plus tard à peu près, il me rendit visite et dit : "viens chez moi, je veux te parler." Et je me dis tiens peut-être que c'est maintenant, peut-être que voici les réponses.
Lorsque j’arrivais chez lui, - - - et - - - étaient déjà là. Le Colonel était très nerveux. Il marchait de long en large et disait "Il faut que je parle à quelqu'un." Il dit "Il faut que je vous fasse savoir ce qui se passe." Et nous étions juste assis là avec notre respiration en suspens! Il dit "Je dois prendre une décision; je vais le faire moi-même. Je veux juste m’associer avec quelqu'un qui que comprendre. Je pense que vous 3 êtes les seuls avec lesquels je puisse le faire."
Il dit "J'ai découvert la vérité." Il prononça ensuite une affirmation que, je pense, il faisait pour lui-même autant que pour nous. Il dit "Je suis un Officier de ce Gouvernement, de ces Forces Armées, dans l'Air Force des États-Unis, et j'ai un devoir, une responsabilité est une image à maintenir. La vérité ne correspond plus à cela. Il faut que j'aille dans un sens ou dans l'autre. Je ne peux vivre avec les deux. Je ne sais pas ce qu'ils font de ce qui se passe, mais ça ne sort pas. C'est tout. » Il n'avait pas l'intention de discuter de quoi que ce soit d'autre. Il dit "Je vous verrai plus tard." et nous souhaita bonne nuit.
Ainsi ce que nous pensions qui allait se produire ne se produisit pas du tout, sauf que nous ne le réalisions pas mais qu'il avait ouvert la porte. Pendant environ dix minutes il nous raconta ses expériences concernant ces objets. Et c'est seulement après plusieurs semaines qu'il nous appela à nouveau. Cette fois-ci il dit "Venez chez moi". Et il dit "Je vais vous donner les informations à ce sujet." Nous il y
allâmes; j'y arrivais et d'autres personnes entrèrent.
Nous nous assîmes, et il nous dit que ce n'était en aucune façon quelque chose de nouveau pour lui, ça faisait longtemps déjà qu'il était au courant. Il dit "La communication que j'ai eue n'était pas la première. C'était la première fois que quelqu'un d'autre était là ». Il dit qu'il avait eu d'innombrables expériences avec eux. Il ressentait que son expérience était d'une valeur incommensurable dans la mesure où les procédés du Gouvernement, de l'Air Force, leur faisaient maintenant la chasse et les poursuivaient à cause de cela." Et il commença
ensuite à nous relater certaines de ces expériences.
Il semblait selon ses déclarations que les expériences étaient toujours vieilles de trois ou quatre mois, qu'elles ne venaient pas juste d'arriver, et que la plupart d'entre elles variaient peu sauf pour le temps et l'endroit, les conditions météorologiques, les vitesses et les formes des objets. Il nous expliqua que les soucoupes était incapables de voler de planète à planète. Il dit "elles ne peuvent faire cela parce qu'elles opèrent dans les champs électroniques - électriques qui entourent les planètes." Il compara ceci à un courant électrique dans un morceau de câble. En d'autres termes, si vous prenez un morceau de câble et que vous faites passer un courant électrique dans celui-ci par résistance - en inversant maintenant cette théorie, nous passons le câble au travers du champ et contrôlons là aussi la vitesse par résistance. Je suppose que cela ne marche pas aussi facilement que cela, mais c'est la comparaison qu'il fit. Voici comment elles opèrent.
"Bien que les champs électriques se superposent entre planètes, dit-il « Ils ne sont pas suffisamment forts aux distances extérieures et ces soucoupes sont donc transportées par des vaisseaux- mères. Les vaisseaux-mères font jusqu'à 15 kilomètres de long et peuvent transporter jusqu'à 300 soucoupes. Ils ont des équipages de plusieurs milliers de personnes. Ils viennent tous de différentes planètes. Ils viennent même de planètes en dehors de cette galaxie.
Ça n'a pris que quelques minutes pour aller d'ici à une autre planète parce que le vaisseau-mère était capable de la vitesse de la lumière, ce qui fait passer à l'infinité, et il n'y a pas de temps passé en tant que tel comme nous le connaissons ici."
L'expérience qu'il nous raconta, que je pense être exceptionnelle, c'était le contact qu'il avait eu avec eux... Lorsqu'il parlait avec eux il les voyaient, et ils nous relata cela le lendemain. Il m'appela et il était très excité! Il dit "Viens ici rapidement!" et je le fis. Il dit "Je les ai vus; j'ai conduit avec eux jusqu'à l'endroit où se trouvait la soucoupe. J'ai parlé avec eux. J'ai parlé avec une personne appelée Maître! Il a l'esprit le plus fantastique auquel je n'ai jamais parlé." Et nous dîmes "Bien, assieds-toi Pete. Écoutons ce que tu vas nous dire."
Il dit qu'il avait volé au travers du pays la nuit précédente, il volait vers la Base de l'Air Force de Luke, près de Phoenix en Arizona. Il dit que sur le chemin aller il n'y avait pas eu d'événement, rien ne s'était produit. Il le dit de cette façon.
"Je ne sais pas ce que vous pensez des rêves. Maintenant ne me comprenez pas de travers, je n'étais pas endormi. J'ai été complètement éveillé. J'ai eu un rêve éveillé ou quelque chose de séquentiel ou de quelque façon que vous vouliez l’appeler, mais j'ai eu une petite chose séquentielle pendant laquelle j'ai imaginé où rêvé qu'après avoir atterri sur le terrain et commencé les opérations, ils me dirent qu'ils avaient réservé une voiture de service pour moi."(Et ceci n'est pas inhabituel pour un homme de son rang.) Et il lui dirent qu'ils avaient réservé une chambre de motel pour lui (et ce n'est pas non plus inhabituel). Il dit que "après être arrivés au motel, l'employé de la réception lui donna le numéro de la chambre, et il dit qu'à 7 heures 30ce soir- là on a frappé à la porte et il dit qu'il y avait deux hommes qui se tenaient à la porte qu'il n'avait jamais vu auparavant. Il dit ; « C’est là que cela se termina , voici tout ce que j'ai reçu à ce sujet. C'est tout ce que j'en ai su. »
"Alors, dit-il, c'est lorsqu'ils arriva là-bas et qu’il commença les opérations, qu’ils lui dirent qu'ils avaient réservé une voiture de service pour lui. Je pris cela pour une coïncidence. Ils me dirent qu'ils avaient réservé une chambre de motel pour moi. Même si c'était le même nom de motel, je pris cela à nouveau juste pour une coïncidence. Il y a justement tellement de motels à cet endroit là. Mais lorsque j'arrivais au motel et que la le numéro de la chambre coïncidait, je commençais à être étonné. J'imagine que 3 sur 3 c'était beaucoup, j'ai pris un bain chaud et j'ai essayé de me relaxer; je me suis allongé, j'ai essayé de lire. Après un moment, je ne pouvais retirer mon regard de cette horloge et à 7 heures 30 on a frappé à la porte. Je ne savais pas si je devais aller à la porte ou sortir par la fenêtre." Il dit "qu'il se dit qu’il en avait vu beaucoup et que peut-être que c’était ça; que c’était trop!"
Il dit "je savais que j'étais peut-être en train de le comprendre et j'allais à la porte. J’ ouvris la porte et il y avait là 2 jeunes personnes qui se tenaient debout, à peu près de l'âge des étudiants. Ils avaient des costumes et des chapeaux, et il dit que la seule chose inhabituelle à leur sujet c’était leurs yeux. Leurs yeux avaient l'air de pouvoir regarder à travers vous. L'une des deux personnes lui adressa la parole par son nom et selon son rang, et ils se présentèrent et dirent que leurs noms Mike et Dave pour toutes les choses pratiques. Le jeune homme qui parlait s'appelait Mike; il tendit sa main. J'ai tendu la mienne et je lui ai serré la main. La seule définition que je puisse utiliser fut un sentiment qui m'a traversé lorsque j'ai fait cela . C'était de l'amour. C'est tout ce que je sais. Je n'ai jamais fait l'expérience de quelque chose comme cela auparavant entre homme et femme dans ma vie. C'est exactement ce que c’était. J'ai mis ma vie entre ses mains à ce moment-là. S’il m’avait dit de sauter de l'Empire State Building, je l'aurais fait et n'aurait pas été blessé. Je ne savais pas ce qui allait m'arriver, mais je n'avais plus peur de rien."
Il dit "Nous sortîmes; nous entrâmes dans une voiture, une Chevrolet. Nous conduisîmes en dehors de Phoenix. Ils m’informèrent qu'ils m’emmenaient à bord d'une soucoupe et qu'ils allaient m’ organiser une entrevue avec un homme qu'ils appelaient le Maître. » Ils lui dirent qu’un Maître était la forme physique la plus haute que c’était la plus haute forme physique intelligente, et qu’ensuite un individu devient un Aether-Divin. Ils dirent qu'il avait bien accompli ses devoirs, et que c’est pour cela que cette entrevue était autorisée. Ils dirent Que cela prendrait environ une demi-heure pour qu’il puisse préparer les questions qu’il voudrait éventuellement poser. Qu'il essayait de se concentrer, qu'il essayait d'être objectif à ce sujet." Et il dit " Que c'était très excitant!"
Il dit "Ils sortirent je pense à peu près à 30 kilomètres hors de la ville, quittèrent l'autoroute principale et prirent une petite route qui allait dans le désert. Et après un moment, dans ce coin là le paysage était très collineux et le crépuscule tombait, ils allumèrent les phares de la voiture et quittèrent ensuite la route. Après un moment ils arrivèrent à une falaise, la voiture s'arrêta; ils n’avaient pas tourné la clé de contact cependant ni éteint les lumières, mais les lumières
s'éteignirent et le moteur s'arrêta, il pouvait regarder à l'extérieur et voir le fond d'une vallée, pour ainsi dire, à cet endroit là. Il y avait là une soucoupe sur un trépied, sur trois jambes. Elle faisait environ 50 mètres de diamètre. Elle se tenait juste là, c'est tout.
Ils sortirent de la voiture et lorsqu'ils le firent ces deux jeunes gens retirèrent leurs costumes, leurs chapeaux et leurs chemises, et ils avaient un costume d’une pièce du type combinaison de saut sur eux, en dessous. C'était une pièce y compris les chaussures et ils portaient une ceinture, et la ceinture avait un disque de métal en elle, en son centre. Ils lui montrèrent un de ces disques métalliques et lui dirent de le tenir entre les paumes de ses mains. » Il nous montra, comme ceci. Et il avait le disque, il avait encore le disque, il nous le montra . Et ils dirent de « le tenir dans les paumes de ses mains et de le porter à son estomac, et cela garantirait l'absence d'effets secondaires désagréables lorsqu'ils passeraient au travers des champs de force en entrant dans la soucoupe."
Ils marchèrent jusqu'à ce qu'ils soient à 25 mètres de la soucoupe, s' arrêtèrent et restèrent juste là debout. Je commençais à parler et ils me regardèrent; c'était assez pour dire sois silencieux maintenant. Après un moment, une sorte de rampe sortit de la soucoupe et un homme en descendit. Cet homme se tenait debout devant eux. Bien qu'aucun mot n'ait été prononcé, il était très évident qu'ils discutaient entre eux, qu'ils parlaient de la situation, et ensuite il se tournèrent vers lui et dirent c'est bien, tout est O.K, nous pouvons monter à bord. Ils marchèrent vers le vaisseau, l'homme qui était sorti était déjà rentré; ils entrèrent tous dans la soucoupe."
Il dit "l'endroit où tout entier luisait comme, en d'autres termes, il n'y avait pas de concentration de lumière comme nous en avons ici, comme nous la voyons dans ces ampoules. Les plafonds, les sols et les murs luisaient tous de façon égale. Ils m'emmenèrent d'abord à la section de contrôle, au centre de la soucoupe." il nous la décrivit. Il dit "Ils me décrivirent relativement bien exactement comment le véhicule opère; les vitesses, les contrôles. Ils avaient de nombreux systèmes de contrôle déjà similaire au nôtre, l'utilisation de la télévision et du radar en tant que tels. Ils avaient aussi ces systèmes. »
Il lui parlèrent aussi des vaisseaux de reconnaissance, ils n'avaient pas d'équipage, c'étaient seulement des concentrations d'instrument; ces objets faisaient d'un mètre cinquante à deux mètres de diamètre. Ils pouvaient les envoyer vers un extérieur et les contrôler, les contrôler par radio et les placer dans un endroit où ils resteraient indétectables lorsqu'un vaisseau plus grand serait aperçu. Ils dirent qu'ils pouvaient les envoyer et obtenir des informations en retour. En d'autres termes, ils renverraient un message télé comme nous le ferions d'une station de télévision et le produiraient sur un écran ici sur la soucoupe et on pourrait le voir.
Ils l'emmenèrent alors dans une chambre extérieure et l'informèrent que c'était le moment de son audience, et il dit qu'il marcha dans cette pièce, c'était toujours difficile lorsque vous passiez d'une pièce à une autre de dire si les lumières continuaient juste luire ou bien si elles étaient déjà allumées, mais il semblait qu'il y avait toujours une nouvelle brillance et les lumières étaient particulièrement fortes mais pas inconfortables. Il s'assit sur un banc à l'extérieur, il dit qu'il savait qu'ils se trouvaient dans le périmètre extérieur à cause du toit qui était incliné, et il dit qu’ils restèrent assis là pendant quelques minutes.