mewatocime Administrateur
Nombre de messages : 1487 Age : 63 Localisation : Sud Date d'inscription : 29/05/2007
| Sujet: Radiesthésie: Analyse et methode de mesure 10 Ven 15 Juin - 19:19 | |
| Analyse et méthodes de mesure Sol, sous-sol et santé On ne va pas s'attarder sur une remarque sémantique indiquant que sol et soleil ont largement la même racine, et qu'à l'orientation et au mécanisme d'en haut correspondent une orientation et un mécanisme ailé, mais souterrain ; car il finit par être monotone d'en revenir sans cesse au : "Tout est en haut comme en bas" d'Henès Trismégiste. Nous allons donc étudier maintenant les effets des ondes et rayonnements telluriques. Les questions de sol (terrain, sous-sol, matériaux...) sont examinées du point de vue santé logique par une science nommée Géobiologie. La géobiologie dans l’histoire L'ensemble des apports dûs aux recherches et connaissances établies par la géobiologie, cette science des relations entre l'environnement local et la santé, est un ensemble très neuf sous le rapport de l'objectivité. Elle possède toutefois des racines très anciennes; car c'est de longue date, depuis des millénaires avant J.-C. et au-delà, que l'on s'est occupé de savoir par exemple si un endroit était faste ou néfaste, salubre ou insalubre, pour y bâtir tel ou tel édifice. Il semble que dans les vieux temps l'architecte ait eu quelque chose de l'initié qui devait respecter et exprimer les croyances de la conscience collective. Ceci est flagrant pour la civilisation égyptienne. Toutefois depuis l'incendie de la bibliothèque d'Alexandrie, on ne dispose guère en ancien que des textes du Romain Vitruve pour ce qui est de choisir un site d'implantation valable. Les traces de textes du Feng-Shui chinois semblent opérationnelles, ainsi que l'architecte Yannick David et le géographe Guy-Charles Ravier nous l'enseignent. Comment les romains déterminaient la salubrité d’un endroit ? L'architecte de la Rome antique critiquait aisément son estimé collègue Vitruve, lequel aura passé la majeure partie de sa vie à écrire ses textes sur la pratique de l'architecture, au lieu de construire ! Mais, états d'âme blessés d'incompréhension ou pas, Vitruve a dit tout ce qu' il pouvait dire, et son conseil pour choisir par exemple un site d'implantation salubre donne ceci : (Livre I chapitre VII) "L'emplacement salubre devra être élevé et non brumeux..., et pas trop exposé aux grandes chaleurs". Puis il explique au Ch. VIII que : "Les corps des animaux sont composés de principes, et par suite de proportions excessives ou insuffisantes de ces principes, ces corps souffrent ou se décomposent... Les ancêtres, après avoir immolé des bêtes qui paissaient dans les lieux où l'on installait les places fortes, en inspectaient les foies ; si les premiers (examinés) étaient livides ou vicieux, ils en immolaient d'autres... Quand ils avaient reconnu que la nature des foies était ferme et non attaquée par l'eau ou le pâturage, là ils établissaient les fortifications". Ceci dans la traduction d'Auguste Choisy. Remarquons au passage la méthode analogique des observations des Anciens : Foie ferme, fortifications fermes, salubres, et valables. La salubrité du sous-sol dépasse ici dans l'esprit des Anciens, la question du bien-être physiologique ; elle intègre les questions de santé mentale, (validité de "1'orientation souterraine") et de synchronicité (au sens Jungien du mot). Nous allons retrouver cela d'une manière plus analytique au cours du présent chapitre, en commençant parles affects physiologiques. Sol, herbe, cancer "Sol, herbe, cancer" est le titre d'un ouvrage d'André Voisin, datant de 1952, où ce dernier montre certaines corrélations entre la nature chimique du sol, celle de l'herbage, et celle des produits animaux qui en résulte. Ici le "terrain" prédisposant à diverses maladies dont parlent les thérapeutes et médecins, est le sol lui même. Toutefois on ne peut soigner les animaux en leur donnant les oligo-éléments qui carencent le sol, et par là carencent l'herbe, puis les bestiaux. C'est bien le sol qu'il faut soigner, car, on l'a vu, c'est dans le sol autour des racines que s'élaborent les substances assimilables, à l'aide d'une flore bactérienne micro-organique sensible à l'ionisation et aux courants telluriques. Les émanations telluriques objectives On connaît maintenant que la radioactivité propre aux roches qui composent l'écorce terrestre est due aux traces de corps radioactifs qu'elles contiennent ou produisent, tels le Kalium, le Radium, et le Thorium. Nous avons vu que ceux-ci au cours de leurs réactions libèrent des gaz radioactifs, tels le Radon, le Thoron et l'Actinon. Ces gaz filtrent à travers le sol et s'échappent dans l'atmosphère, avec une émergence plus virulente au-dessus des failles telluriques qui les drainent vers la surface. Il est établi d'autre part que la circulation de l'eau souterraine enfermée, ou l'existence de poches d'eau entraînent des modifications locales de la gravité (entre autres), lesquelles connotent aisément avec une accentuation de la radioactivité mesurable à leur verticale. Le rayonnement gamma (g) sort à la verticale du sol en même temps qu'un flux de neutrons thermiques à micro-ondes qui est prépondérant en tant qu'indicateur biologique. Les chercheurs ont à date retenu deux types d'émission (ou de ré-émission) non dénués d'incidence sur la santé : le rayonnement radio-ionisant d'une part, et les micro-ondes de l'autre. Le 25 Avril 1927, le professeur d'Arsonval présentait à l'Académie des Sciences une communication de Mr Stelys établissant que les "maisons à cancer" de Clermond-Ferrant étaient situées en majeure partie le long d'une dénivellation due à une faille d' origine volcanique, auprès de laquelle jaillissent des sources d'eau bicarbonatées. Outre ces questions de failles telluriques, G. Lakhovsky a utilisé la statistique telle qu'on savait s'en servir dans les années 1930, pour montrer que : I) Les villes à faible incidence de cancers sont bâties en 1936 sur le sable, le calcaire, le gypse, le grès, certaines roches cristallines primitives, diverses alluvions récentes, tandis que : II) Les villes à forte incidence de cancers sont bâties sur l'argile plastique, les marnes # à gypse, les marnes jurassiques, la craie phosphatée, la pyrite de fer, les terrains carbonifères et les schistes, les terrains à minerai de fer. On commence donc à cerner le problème. Reste à examiner pourquoi ces terrains pathogènes le sont. Lakhovsky indique que le rayonnement cosmique ayant pu traverser l'atmosphère, pénètre dans le sol avec une certaine incidence ; et soit il y pénètre très profondément, soit il y est vite reflété par des couches formant des sortes de miroirs à cosmique. L'exemple type de ces miroirs est celui d'une couche isolante (jouant le rôle du verre en miroiterie) sur une couche conductrice (jouant le rôle de l'étain), ce que l'on obtient en pratique avec la limite supérieure d'une veine d'eau. Par extension on aura un résultat similaire avec toutes les veines conductrices de l'électricité sous couche de surface plus ou moins absorbante. Ce qui est valable pour un courant souterrain (Vouivre ou serpent ailé), l'est aussi dans cet esprit pour un simple réservoir ou grosse masse conductrice enfouie en sous-sol. Il en résulte qu'une zone insalubre (à l'échelle disons du quartier) se définit premièrement par l'existence en sous-sol, et à des profondeurs variables mais pas considérables, de terrains particulièrement conducteurs de l'électricité (argiles, ferrugineux, carbonifères). Ceci donne une idée (2). Toutefois à l'échelle de la maison, puis dans la maison à l'échelle du lit, nous allons encore rencontrer deux degrés d'affinement pour en arriver finalement à des points géopathogènes dangereux d'une surface de l'ordre de 400 à 500 cm2. Les veines d'eau souterraines sont pures ou impures Si l'eau est relativement pure, sa résistivité est très grande (ce qui est du reste un facteur de santé d'après une discipline parascientifique nommée Bio-Électronique (Louis Claude Vincent), avec comme exemple type : eau de "Volvic", r = 5600 à 6000 Ohms par unité cubique). Il en résulte qu'il y a peu d'ions en solution (soit dit en langage bio. : corpS éthérique très appauvri, sinon nul, ce qui empêche la vie bactérienne). L'eau pure n'étant pas conductrice (ou si peu), elle ne fait pas effet de miroir reflétant le cosmique lorsqu'elle circule en sous-sol. Elle le laisse passer, en absorbant juste de quoi faire varier de manière incessante son potentiel redox (mesuré en RH2), ce qui n'a pas d'importance ici. L'effet de reflet est donc réduit ou nul, et le sol est salubre pour y habiter. Si l'eau est impure, que ce soit naturellement, ou a l'aide de la pollution organique ou chimique, sa résistivité sera faible (exemple : les eaux thermales ont un r < 400). Ces veines impures étant bonne conductrices, elles forment ainsi en sous-sol des miroirs du cosmique. Ceci se conjoint généralement à une perturbation de l'image spectrale à micro-ondes émanant du sol, laquelle agit directement en sur le couple "corps éthérique/glande endocrine" (Cf "Les constituants de la nature humaine", La croisée des chemins 1995). | |
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