mewatocime Administrateur
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| Sujet: Radiesthésie: Les travaux de Moulins 14 Ven 15 Juin - 18:50 | |
| Les travaux de Moulins Nous avons vu au 3521, le Dr J. Picard se brancher sur la géobiologie, via la section suisse-romande représentée par "1'Institut Européen de Recherches en Géobiologie" animé par Mme B. Mertz. Celle-ci, éminente géobiologiste-expert (travaillant du reste en méthodologie subjective), a examiné sur carte muette, sans aucun dossier médical ou autre, les zones d' habitation de 42 malades gérés par le Dr J. Picard, à Moulins. En travaillant sur la maille d'analyse la plus fine, qui conduit à la détermination du quadrillage Hartmann, ainsi que du facteur d'activité aux carrefours, elle a pu, à chaque fois retrouver la localisation corporelle de l' affection dont souffraient les sujets. Ceci a été reporté sur graphique, pour chaque cas. Puis J.W.F. Staëngle est venu à Moulins, avec son scintillomètre. Et, comme à Vilsbiburg, tous les relevés qu'il y a effectués corrèlent admirablement avec les indications de la géobiologiste. Enfin le Prof. L. Massé, (de l'École Nationale de la Santé Publique de Rennes) est allé lui aussi à Moulins avec un scintillomètre à gamma, mais dans le cadre d'une démarche scientifique différente de celle de J.W.F. Staengle. En effet la démarche de son groupe de recherches (Ass. Villermé) aura consisté (au début) à examiner par l' analyse statistique une éventuelle corrélation entre le taux d' irradiation naturelle (la faible radioactivité naturelle), et l'incidence des cancers à l'estomac. Ouvrons d'ailleurs une parenthèse à ce sujet : L. Massé a prospecté la Bretagne, à raison parfois de 30 villages par jour, pour y mesurer le taux moyen de radioactivité tellurique. Puis il a comparé les résultats de mesure avec les données géostatistiques de morbidité relative à l'incidence du cancer à l'estomac en Bretagne (de 1958 à 1966). Il a obtenu le fcrit que cette incidence corrèle effectivement avec le taux de gamma local moyen, avec doublement "exponentiel" dès que la radioactivité naturelle dépasse un seuil limite. Le seuil de danger avec la radioactivité naturelle est de 7 fois le taux de la moyenne nationale, qui est de 0,8 mRh (1) (Ce qui se compare avec la norme des TV couleurs : cette dernière est de 0,5 mRh aux USA). Maintenant soyons précis : Le résultat objectif obtenu par L. Massé porte sur une maille d'analyse à l'échelle de la commune ; elle est la même que celle de G. Lakhovsky, et porte en gros sur le même sujet général de l'influence environnementale du sol sur l'incidence des cancers. Qu'avons-nous appris ? Que d'une manière générale le facteur de risque de cancer (à l'estomac) double lorsque la radioactivité tellurique naturelle moyenne passe de 0,8 à 5,6 mRh ; à plus de 5 mRh, le risque augmente très fort, et de manière exponentielle. Enfin, les communications privées nous apprennent qu'il n'y a pas trop de risque local (cette fois à l'échelle de la maison, ou même à l'échelle métrique en dessous de 1,2 mRh. Ce "sous-résultat" découle de l'analyse de l'ensemble des cas où l'équipe L. Massé a pu effectuer des mesures corrélatives à l'échelle de la maison, et même à l'échelle métrique. C'est à cette échelle serrée que L. Massé a effectué des relevés de Moulins, reprenant avec entière confirmation les mesures de J.W.F. Staëngle. + savoir l'équivalent d'un doublement à triplement de la radioactivité dans les lieux exacts où plusieurs personnes sont décédées (ou ont été atteintes) d'une variété de cancers. Les mesures que nous avons effectuées collectivement à Nantes dans un appartement situé dans un immeuble collectif "à cancer", montrent en effet que dans la zone du traversin du lit de l' habitant la radioactivité atteint 1,95 mRh, ce qui représente 1,6 fois le taux de 1,2 mRh que l'on trouve dans le séjour. + partir de là, la perturbation géopathogène relevable au scintillomètre comprend deux facteurs : Radioactivité gamma naturelle et zones géopathogènes Nous pouvons différentier deux facteurs ou cofacteurs environnementaux carcinogènes : D'une part l'accentuation des faibles doses permanentes d'irradiation radioactive (naturelle, ou même artificielle). Il est bien établi maintenant que le facteur de risque double en multipliant par 7 la moyenne nationale de 0,8 mRh, mesurée au scintillomètre. Ce facteur radioactif est aussi valable pour les failles telluriques fortement émettrices de radon. D'autre part la façon dont le flux de neutrons telluriques émerge sous forme de micro-ondes. Dans ce cas, nous savons qu'il y a une bande dite biologique (favorable) autour de 2,85 gHz, et une bande dite secondaire (et défavorable) autour de 35 gHz. Nous noterons enfin que sur sol granitique émetteur de y, il n'y a pas nécessairement de perturbation "micro-ondes naturelles", et que sur de tels sols, c'est bien la radioactivité elle-même qui est le facteur ou cofacteur d' incidence des cancers. | |
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