Parmi les grandes escroqueries de notre siècle finissant:
Comment sont « fabriqués » les vaccins
Il s'agit d' inoculer:
- soit le micro-organisme responsable de la maladie dont on voudrait protéger le patient, après l'avoir plus ou moins tué ou atténué,
- soit divers poisons fabriqués par ces micro- organismes, le produit final étant toujours complété par une substance toxique et souvent hautement allergisante baptisée "adjuvant" genre mercure, aluminium, ou autres poisons violents.
Cette inoculation se fait au mépris de toutes les règles de prudence habituelles préconisées pour les traitements médicaux. Elle est "réputée" inoffensive et toujours efficace par principe, sans que jamais la moindre étude épidémiologique sérieuse n'est été effectuée... Curieusement, les diverses moutures sont fréquemment remplacées par de nouvelles, moins dangereuses et réputées plus efficaces).
Les techniques de préparation des vaccins sont tenues secrètes: il faut être initié ou chercher avec opiniâtreté pour soulever un petit coin du voile! Même les grands professeurs et les médecins ne savent pas... Lorsqu'un professionnel réclame des éclaircissements à l'Institut Pasteur Mérieux, on lui répond, sans rire: " SECRET - DÉFENSE!"
Les premiers vaccins mis au point par Louis Pasteur lui-même, comme celui de la RAGE, était en fait des organes d'animaux malades broyés et inoculés directement (moelles épinières de lapins enragés dans ce cas précis).
Aujourd'hui, les vaccins viraux modernes sont préparés le plus souvent sur des cultures de cellules animales ou humaines (I. V. G.), cancérisées artificiellement (on les baptise alors gentiment "immortelles"), quand il ne s'agit pas de cellules
d'emblée cancéreuse (lymphomes). C'est-à-dire qu'on fait " pousser" les virus vaccinaux sur ces milieux. C'est, dans tous les cas, le JUS de culture de ces cellules cancérisées qui est inoculé aux patients, après filtration et traitements éventuels pour atténuer ou tuer les virus.
Ces cellules cancérisées qui servent à fabriquer les vaccins doivent être en très grand nombre: en effet, chaque dose vaccinale renferme des quantités invraisemblables de virus! 700.000 au moins pour une dose de vaccins antipoliomyélitique par exemple. Or, les fabricants de vaccins produisent des milliards de doses!
Pour augmenter le rendement, on nourrit donc de les cellules "immortelles" qui servent à la culture des virus avec du sérum de veau, qui possède un facteur de croissance particulièrement actif. Or, ce sérum de veau comme tous les produits bovins est susceptible d'être contaminé par des Prions, qui sont des micro-organismes encore plus frustes que les VIRUS, responsables de maladies effroyables comme l'Encéphalite de la vache folle, ou la maladie de Creutzfeld - Jacob (démence abiotrophique).
Maladies qui évoluent après de longues incubations (3 à 5 ans en moyenne) et qu'on ne peut diagnostiquer qu'à l'l'autopsie, ce qui permet d'éviter tout "rapprochement" malheureux avec ces pathologies ou avec d'autres maladies neurologiques comme la maladie de Alzheimer où le syndrome de Parkinson par exemple.
D'autant plus que les veaux donneurs sont tués avant l'âge adulte, donc avant que l'on puisse poser le diagnostic de maladies à prions. Ce risque est tellement évident qu'il est INTERDIT par la législation française d'utiliser le moindre produits d'origine bovine pour la fabrication de médicaments injectables!
Le JUS DE CULTURE obtenu est manipulé quelque peu avant l'inoculation. On le filtre, puis on atténue ou on tue (soi-disant) le virus selon le type de vaccin, avec des produits d'ailleurs très toxiques, comme le méthotrexate ou le formol. Il faut savoir qu'il est absolument impossible d'obtenir un produit pur. L'Institut Pasteur Mérieux parle d'une pureté de 99%, l’OMS de 90 à 95%(Rapport Technique 760, 1987). De toutes façons, personne n'ira jamais contrôler les affirmations gratuites de nos sacro -saintes institutions vaccinales
Enfin, une nouvelle technique réputée plus économique vient tout juste d'être mise au point: le Génie Génétique. Des enzymes et des fragments de gênes issus de virus effroyablement cancérigènes (virus SV 40 responsable du cancer chez les animaux - ou virus du papillome bovin en particulier - obtenus là encore en quantités industrielles grâce à des contaminations de cellules cancérisées et nourries avec du sérum de veau) sont - par tatonnements - mélangés au jus des cultures cellulaires (toujours cancérisées la plupart du temps - à l'exception de L’ENGERIX B ou du petit dernier HB - VAX DNA qui sont préparés sur des cultures de levures végétales), pour lobotomiser ces cellules et en faire des cellules- usines et esclaves. Elles pourront ainsi fabriquer des protéines capables de déclencher la fabrication des fameux anticorps...
La encore, c'est le jus de culture, filtré plus ou moins approximativement et sans le moindre contrôle extérieur aux promoteurs du vaccin - une véritable "soupe" de purulence -, qui est récupéré et inoculé aux patients, non sans avoir été "filtré" puis additionné avec quelque « adjuvants » toxique. L’ O.M.S. parle pudiquement « d’innocuité théorique » au dessous d'un certain seuil en ce qui concerne le matériel génétique résiduel...(Cf.. Rapport Technique 747 de l’O.M.S..)
Tous ces vaccins sont donc de véritables ramassis d'horreur.
1. Ils contiennent indubitablement des substances cancérigènes - et des outils de manipulation génétique eux-mêmes cancérigènes et tératogènes pour les derniers vaccins obtenus par génie génétique.
2.Ils peuvent être contaminés à tous moments (lors de la conception de départ ou lors des manipulations nécessaires à la fabrication du produit fini),
.Soit par des prions si le SÉRUM de VEAU a été utilisé pour la fabrication du vaccin (ou si l'on a utilisé d'autres milieux de culture bovin, comme le BCG qui est cultivé sur de la bile de boeuf).
.Soit par des virus connus ou inconnus encore, plus ou moins effroyables.
3. De par les additifs, les vaccins modifient profondément le terrain bio- électronique, ouvrant la porte à toutes sortes de maladies: allergies, athérosclérose (métaux lourds), etc.
4. Par inoculation de micro- organismes plus ou moins mal connus encore, ils vont pouvoir déclencher de nouvelles maladies infectieuses (genre EBOLA), réveiller des cancers latents, ou générer des maladies effroyables dites auto-immunes (sclérose en plaques par exemple).
5. Ils risquent de venir modifier le capital génétique des ovules ou spermatozoïdes, et donc de déclencher la naissance d'enfants monstrueux par la descendance immédiate.
6. Il spécialisent par ailleurs le système immunitaire de l'organisme à la fabrication d'anticorps, au détriment des autres mécanismes immunitaires comme les CD4
et engendrent de ce fait à la longue un véritable effondrement immunitaire ou SIDA.
( source: Syndicat Hippocrate)