David Jacob , ce médecin a beaucoup travaillé sur les enlevés.
Son livre « Secret Life » (Vie secrète )= vient d’être édité dans sa version française, par les bons soins de Jimmy Guieu, sous le titre de « Les kidnappeurs d’un autre monde ».
Dans ce livre, il indique qu’un petit objet rond, métallique, hérissé de pointes, est introduit dans le nez et les sinus d ‘un homme ou d’une femme.
Sa fonction est inconnue.
Cela pourrait permettre aux aliens de retrouver l’enlevé où qu’il se trouve, ou agir sur les signaux hormonaux, produire des changements moléculaires, ou encore faciliter les communications.
Parfois ils l’enlèvent ou le remplacent.
Les aliens insèrent aussi un objet long et mince dans le canal auriculaire, qui crève le tympan, et logent un minuscule objet dans le cerveau…
D’autres sont introduits, soit par le nez ou tout simplement à travers le crâne, entre les deux yeux. ( Avec son collaire presqu’inévitable : les maux de tête.)
Ils peuvent ressortir lorsque la victime se mouche ou éternue.
On les a vus aussi planter de petits appareils dans le sinus directement, à l’aide d’une aiguille qui pénètre par le coin de l’œil.
Des infections peuvent survenir, provoquer des sinusites, boucher le canal lacrymal, et des contusions apparaître sous les yeux.(œil au beurre noir )
Des implants ont été posés près des ovaires ou dans le pénis de l’homme.
Le Professeur de psychologie à l’hopital de Cambridge et à l’Université d’Harward ( Massachusetts ), John Mack, dont le livre « Abduction « est paru en 1994, apporte des nouveaux éléments à cette étude qu ‘est l’expérimentation alien sur les hommes.
Il écrit :
« Les enlevés font la fréquente expérience qu’une sorte d’objet a été posé à l’intérieur de leur corps, spécifiquement dans la tête, mais aussi dans d’autres parties de l’individu.Ainsi les aliens peuvent les retrouver et les manipuler.
Ces implants comme on les appelle, sont ressentis comme de petits modules sous la peau et l’on trouve de minuscules objets, qui sont analysés biochimiquement et électroniquement.
Le physicien David Pritchard a analysé un implant , sorti du pénis d’un homme et a établi les critères à retenir, lors de l’examen pour déterminer la nature de tels objets.( 1992 )
J’ai moi – même étudié l’un de ces objets de 1 à 2 cm de longueur, qui me fut doné par une de mes patientes , femme de 24 ans, opérée du nez.
L’analyse élémentaire l’identifiait comme une fibre tordue de carbone, silicone et oxygène, sans azote, ni autre «élément chimique.
L’analyse isotopique du carbone, n’apporta rien de nouveau.
Un collègue biologiste me dit, qu’à son avis, cette fibre n’était pas facturée sur Terre ; où il lui semblait difficile de la créer.
Il se peut que ces implants contiennent des éléments rares ou inconnus ou des éléments connus disposés en combinaisons inhabituelles.
J’ai discuté avec un ingénieur chimiste, et d’autres experts en technologie des matériaux.
Ils sont d’accord pour dire qu’il serait extrêmement difficile d’avoir un diagnostic sûr sur la nature d’une substance inconnue, sans savoir quoi que ce soit, sur son origine.
On ne sait même pas si on peut prouver qu’une matière est d’origine biologique humaine ou non.
Jerry une femme à qui on enleva 2 petits modules, qui étaient apparus sur sa poitrine, et qu’elle accepta de me donner.
Lorsque nous les avons fait analyser, dans un laboratoire de pathologie de l’Université, on ne trouva rien de remarquable sur ce tissu.
Les chercheurs sont persuadés que si nous trouvions un implant extraordinaire dans un corps humain, nous tiendrions une preuve tangible des enlèvements, un objet alien authentique, l’arme qui pourrait faire taire définitivement les sceptiques.
Je ne pense pas que nous découvrions un jour, quelque chose de cette sorte.
Le phénomène ne se laissera pas apprivoiser d’une façon aussi simple.
Le croire est raisonner faussement, et relève d’une logique et d’une approche purement matérialiste, qui sont celles de la science occidentale.
L’expérimentation alien est beaucoup plus subtile et son étude nécessite une méthodologie épistémologique différente… »
Le docteur Neal raconte en 1989 que sur les 75 cas d’enlèvements qu’il a étudiés, la majorité possède un ou plusieurs implants dans le corps.
« Beaucoup d’enlevés écrit – il, décrivent une sonde mince avec une minuscule boule à son extrêmité, insérée dans la narine, habituellement dans la droite.
Witley Strieber pense que l’implant nasal est placé dans la narine gauche lorsque le sujet est gaucher et dans la droite lorsque le sujet est droitier. ( constatation faite sur lui – même , sa femme et son fils.)
Le docteur Neal ajoute que, certains implants sont mis en place dans les yeux provoquant des cécités temporaires ou des troubles de vision, des conjonctivites qui s’atténuent souvent et heureusement par la suite.
Implants de l’œil
Ida Kannenberg est un des cas les plus anciens d’implantation.
Elle avait 7 ans et demi quand elle fit la rencontre de petits êtres qui ne l’ont pas seulement examinée, mais l’ont suivie, prétend – elle tout au long de sa vie.
Elle pense que dès le début on lui mit un implant dans l’oreille ou dans le cerveau. Car durant sa jeunesse, elle entendait parler très distinctement dans son cerveay.
Mais ce ne fut qu’en 1968 qu’elle se rendit compte qu’elle était constamment surveillée par une présence étrangère.
Elle reçut tout au long de sa vie des connaissances techniques qui ne pouvaient se confondre avec la télépathie, telle que la conçoivent les humains.
En 1988 seulement, elle se fit hypnotiser par le docteur Léo Sprinkle de Laramie.
En 1940, alors qu’elle avait 25 ans, elle se retrouva sans savoir comment dans une pièce ronde allongée sur une table.
Deux êtres placèrent des petits objets sphériques en plusieurs endroits de son visage/
Un dans la narine gauche, un dans chaque oreille.
Puis ils enlevèrent un œil pour introduire une très petite bille dans son lobe frontal.
Quand ces implants sont activés, explique – t- elle, ces étrangers voient et entendent tout ce que je perçois.
L’implan frontal peut aussi commander mon système musculaire.
Les images qu’elle vivait chaque jour étaient projetées sur un écran, et les aliens suivaient ainsi tout ce qu’elle pouvait entendre et voir.
Bien sûr, cet appareillage compliqué permettait également aux « voyeurs » de lui renvoyer des visions et des pensées.
Elle a ainsi acquis de nombreux concepts et renseignements d’ordre philosophique, social, technologique etc…
Ida se sent continuellement contrôlée, et avoue qu’elle n’est qu’ « un jouet entre leurs mains »
A plus de 80 ans, elle courait encore le monde, pour ses activités diverses.
Les aliens disent, que les peurs, les ressentiments, les angoisses, qu’elle peut ressentir mettent son cerveau, dans un état de confusion gênant les transmissions.
Elle sait aussi qu’un éternuement, un sifflement, transperce désagréablement le cerveau enregistreur.
Etant jeune, elle cherchait parfois à les piéger et sifflotait lorsqu’elle désirait brouiller l’émission.
Le premier implant chez Betty semble avoir été posé en 1950, lorsqu’elle avait 13 ans à Westminster (Massachusetts ) .
Elle fut enlevée dans un objet sphérique, et retrouva ceux qu’elle considéraient comme ses amis , depuis l’enfance de petits êtres gris de peau et aux grands yeux, dont le chef Quazgaa , s’occupait particulièrement d’elle.
« Je vais te donner quelque chose » Il lui mit dans la main, de minuscules billes transparentes comme du verre.
Elle les connaissait déjà, car elle avait joué avec , lorsqu’elle avait 7 ans.
L’année précédente, les aliens lui en avaient montré dans une jolie boîte, puis on lui avait prêté une sorte de petit bâton.
Dirigé vers la boîte, ce petit bâton envoya les perles s’éparpiller dans l’espace et l’une d’elles vint se loger entre ses deux yeux.
« Cela servait, lui avait – on dit pour voir ce que les autres ne pouvaient voir. »
En 1967 Betty dut s’allonger en flottant sur une table d’examen.
Quazgaa, lui mit la main sur le front pour la détendre, la jeune femme eut très peur.
Elle sentit qu’on lui soulevait la paupière droite et elle aperçut une mince aiguille lumineuse s’approcher de ses yeux.
Pendant que le chef lui extirpait prestement l’œil de son orbite ( elle ne sut si c’était avec les doigts ou avec un instrument ), une des petites billes transparentes, à l’extrêmité de l’aiguille fut insérée dans la cavité.
L’aiguille sembla déposer dans le bas du crâne, de l’intérieur, deus autres petits implants qui se logèrent à l’endroit prévu, grâce à une légère secousse de l’aiguille.
Puis l’œil fut remis à sa place.
Lors du 25 janvier 1967 Betty 30 ans subit, plusieurs autres expérimentations.
On retira quelque chose de son nez ou du sinus de la jeune femme.
Elle se rappela également qu’un implant fut introduit dans le bas de sa colonne vertébrale, au cours d’une manipulation compliquée.
En 1987 , Betty eut une forte douleur dans l’œil droit, celui qui avait été délogé.
Raymond Fowler pensa alors, que non seulement les aliens avaient posé les deux implants dans la nuque à travers le cerveau, mais qu’un troisième avait été placé derrière l’œil, sans doute sur le nerf optique.
Les tests visuels qui furent imposés à Betty juste après l’opération, l’incitaient à émettre cette hypothèse.
Cette réflexion est d’ailleurs conforme au récit d’autres enlevés.
En mai 1991 Leah Haleh est reprise par ceux qu’elle décrit comme « petits à peau blanche »
Après une prise d’ovules, ils travaillèrent sur son œil droit.
Elle ferma les yeux et sentit une pression sur cet œil, puis ils L’OTERENT et introduisirent une aiguille qui opéra entre les deux yeux.
Quelque chose est resté attaché à l’intérieur, puis ils remirent l’œil en place, et rangèrent l’aiguille.
Ils lui ont expliqué , que cette opération l’aiderait à s’adapter au nouvel environnement, qui sera bientôt celui de la Terre.
« Leah vit un homme allongé sur un lit à côté d’elle.
On lui enleva un objet du nez ressemblant à un minuscule panier.
Les ET regardèrent avec attention ce qu’ils avaient retiré.
Puis ce fut son tour, elle ne ressentit qu’une pression supportable. »
En 1982, Budd Hopkins a enquêté sur le cas d’une jeune femme de New – York, qui d »clara sous hypnose avoir assisté à l’opération d’un œil, effectuée par les aliens, sur un homme inconnu.
Cet homme était allongé, nu sur une table, dans la même pièce qu’elle.
Ils firent descendre du plafond un appareil composé de tubes encastrés les uns dans les autres.
A l’extêmité du dernier, il y avait une aiguille enchâssée dans un manchon lumineux, qui transperça directement le globe oculaire.
Le corps de l’homme frissonna.
Après cela, la jeune femme dut s’allonger à son tour et subit exactement la même opération.
Elle sentit la pression de l’aiguille et ce fut tout.
Elle fut capable de dessiner l’appareil et la scène.