mewatocime Administrateur
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| Sujet: Radiesthésie: Les cheminées cosmo-telluriques 27 Ven 15 Juin - 16:33 | |
| Cheminées cosmo-telluriques
Les cheminées sont comme les réseaux des phénomènes dits « cosmo-telluriques ». En effet, faisant partie de notre environnement, ils ne sont pas, à notre connaissance, en relation avec un phénomène tellurique connu. Les cheminées ont été découvertes en 1983 par un géobiologiste de talent et un homme de grand cœur, notre ami Guy Tison de Bourges. Aux travaux de Guy, nous associons ceux d'un autre ami, tout aussi talentueux géobiologiste et chercheur infatigable, Roger Pencréach de Brest. Nous leur devons l'essentiel de l'exposé qui suit. Description du phénomène Comme le nom l'indique, nous pouvons nous représenter une cheminée tel un cylindre invisible, qui prend racine dans la terre et s'élève à la verticale, traversant tous les étages d'un immeuble sans en être affecté. Son diamètre est variable, les plus courantes varient de 1 à 3 m. Mais on peut en trouver de beaucoup plus petites et des plus grandes. Les cheminées se trouvent partout dans notre environnement. Leur répartition parait anarchique, elles peuvent même se chevaucher à deux ou à plusieurs. Leur densité est cependant relativement importante : il peut s'en trouver plusieurs dans un logement de 80 à 100 m2. Il nous est arrivé d'en détecter trois dans une chambre de moins de 12 m2. La cheminée est un phénomène bien différent de ceux précédemment décrits et assez déroutant. En effet, la cheminée cosmo-tellurique est dynamique. Nous constatons deux mouvements : l'un de montée, l'autre de descente, assez régulièrement alternés. Pendant les temps d'arrêt entre deux mouvements, la cheminée s'efface. Voici le rythme de ces mouvements, analogues à celui d'une respiration à quatre temps : - Un mouvement ascendant dont la durée est de l'ordre de trois minutes (expiration) - Un court temps de repos - Un mouvement descendant (inspiration) dont la durée est un peu moins importante que celle du premier : entre 2 et 2,5 minutes - Un court temps de repos. Un radiesthésiste debout à l'aplomb d'une cheminée voit son pendule changer de sens giratoire pour la montée et pour la descente. La cheminée fonctionne continuellement et son cycle paraît assez régulier. Il n'est pas affecté par le rythme nycthémal (jour/nuit). Par contre, son diamètre change selon la phase : si par exemple, son diamètre est de deux mètres en phase montée, il passe à deux mètres soixante en phase descente, soit une augmentation de l'ordre de 30 %. Nous pouvons donc faire un parallèle avec un rythme respiratoire lent. Tout se passe tomme si nous avions une expiration (contraction) en phase montée et une inspiration (dilatation) en phase descente. Mais nos connaissances actuelles ne nous autorisent pas à dire qu'il s'agit effectivement d'un phénomène respiratoire. Examinons de plus près cette curieuse fonction. Son espace intérieur - vu en coupe n'est pas homogène. On trouve d'abord dans la partie centrale la zone la plus active de la cheminée, appelée « noyau » ou « axe », dont le diamètre varie en fonction de celui de la cheminée, disons de 10 à 30 cm. A partir ce cet axe, nous détectons successivement sept zones réactives, se présentant comme des cercles concentriques ayant une faible épaisseur (fig. 22). La dernière zone constitue le bord de la cheminée. Cette organisation rappelle celle des sept zones réactives d'un courant d'eau . Enfin, la cheminée peut avoir des « bras " qui partent du « noyau ». Ces bras ont une forme particulière (fig. 23). Leur longueur est de 6 à 8 m et leur largeur varie de 20 à 60 cm pour les cheminées de tailles les plus courantes Dans le bras se retrouve le mouvement alternatif de la cheminée. Quand ils existent, les bras sont au nombre de 1 à 4, rarement 5. Précisons que certaines cheminées n'en ont pas. Les bras paraissent généralement être orientés dans l'espace - un bras : direction ouest - deux bras : Nord et Sud - 3 bras : Nord, SE et SO - 4 bras : N, S, E et O Orientation possible des bras de cheminée Mais il n'est pas possible de généraliser car nous avons rencontré des cheminées dont les bras étaient orientés différemment. Des études statistiques sur ce sujet seraient les bienvenues. Action sur le vivant L'action d'une cheminée sur le vivant, et en particulier sur l'homme, est très variable. Pour l'estimer, il est nécessaire d'apprécier la « qualité » de la cheminée. Cette appréciation se fait par radiesthésie en utilisant une échelle de référence. Celle qui est la plus - utilisée en géobiologie est l'échelle de Bovis. Elle permet, entre autres usages, d'évaluer la qualité d'un lieu. Elle s'exprime en multiples de 1 000 avec la convention suivante : un lieu qui a un « taux vibratoire » inférieur à 6 500 est peu favorable à la vie, celui dont ce taux est supérieur à 6 500 devient favorable. Ce mode d'appréciation permet de classer les cheminées en trois groupes : - les cheminées dites de « basse vibration » dont le taux est de 3 000 ou 4 500 - les cheminées relativement neutres : 6 500 - les cheminées dites de « haute vibration " : 8 500 et 12 500 (il existe des cheminées dont le taux vibratoire est encore supérieur, mais elles sont assez rares ou se trouvent sur certains sites, nous n'en parlerons pas). Les cheminées dites de « basse vibration " ont tendance à affaiblir l'organisme humain, alors que les cheminées 8 500 ou 12 500 le rechargent. De toutes façons, il est préférable de ne pas placer son lit dans une cheminée car sa respiration peut « inquiéter » l'organisme qui « s'y brûle » ! Celui-ci n'a besoin d'être ni déchargé, ni rechargé pendant le sommeil. Il vaut mieux placer le lit en zone neutre. Nous avons rencontré de nombreux cas de personnes indisposées par l'influence d'une cheminée, qui était toujours de « basse vibration ". Pour tous ces cas, il y a eu amélioration rapide dès que les intéressés ont été écartés de ces influences. En ce qui concerne l'activité de la cheminée, précisons qu'elle est maximale dans sa partie centrale, paraît diminuer légèrement dans le reste de son volume et s'affaiblir encore plus dans les bras. Rappelons que ces évaluations de l'activité sont relatives. Sources : Très bonnes publications : La médecine de l’habitat (Jacques La Maya), Editions Dangles La Bio-Construction (Jean-Marie-Pierre Le Chapellier), Guy Trédaniel Editeur Géobiologie simple et naturelle (Roger Pencreach), Editions Desforges Les réseaux géobiologiques (Gilbert Fleck et Jean-pierre Ganel), Editions Pratique santé | |
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