Le pendule Egyptien / Réseau Hartmann 3

Dernière zone. Ce sont des plans de réalité qui dépassent ce que peut expliquer la physique et mesure certaines vibrations dans les sanctuaires ou figures géométriques comme certains labyrinthes. Dans ce qui reste de l’ancienne Égypte, « l’examen des lieux des anciens temples laisse perplexe sur les grandes lignes de force qui s’en dégagent.» Le champ vibratoire de certains hauts lieux est resté le même au fil des temps. Ces Emplacements sont dotés d’une puissance d’une force et d’un pouvoir de régénération. Selon la loi des semblables, certaines résonances peuvent être perçues.
HAUTS LIEUX COSMO-TELLURIQUES.
« Sois une âme dans une étoile vivant……. »
( Texte des Pyramides 904 )
Grâce à la structure géologique de l’Égypte, de son granit rouge, « le visiteur ressentira un stimulant d’énergie qui se mesure jusqu’à 9000 unités, surtout en haute Égypte.» Cependant la modification de l’équilibre naturel, le barrage d’Assouan, a changé la structure vibratoire de certains lieux comme le déplacement de certains temples a modifié l’ambiance intérieure.
En tant que zone de fracture de l’écorce terrestre, des particularités du sous-sol riche en minéraux variés, le pays était zone d’affleurement des radiations noires du tellurisme. La virulence de celui-ci se trouve amplifié car condensé et canalisé par certaines failles formant diélectrique entre deux bandes conductrices.
«IL y a accroissement de l'irradiation naturelle en rayons gamma au dessus des failles». Les traditions avancent une curieuse explication du caractère noir de l’énergie tellurique. « Elle pervertit le psychisme humain qui s’en imprègne exagérément ». Il paraît évident qu’une part de notre vitalité, la plus précieuse provient du cosmos. Le soleil est à lui seul déjà déterminant. «En certaines zones, la force du tellurisme jaillit du sous-sol en invisible geyser et monte droit vers la stratosphère.» A ces endroits se dressaient des obélisques en granit, bon accumulateur pour le tellurisme, pour renvoyer cette énergie dans l’atmosphère. Mais le circuit du tellurisme, lié au magnétisme terrestre, assez mobile et nerveux se modifie d’âge en âge et certaines zones sont aujourd’hui inertes. Les dimensions des édifices et les ondes de formes jouent un rôle considérable dans le cadre construit. Une zone tellurique particulière, une orientation spécifique, des matériaux
provoquant des champs vibratoires élevés, il est également fort à parier que la conscience amplifiée par certains rituels engendre un champ bio-gravitationnel qui interfère et interagit avec les champs de gravitations organisant la matière. Ceci expliquerait certains phénomènes PSY ressentis ou provoqués sur les Hauts Lieux. «Il y a des lieux, des objets, des symboles qui peuvent entrer en résonance avec nos propres cellules.»
« L’étude géobiologique enseigne que ces gigantesques bâtisses ont ceci en commun que le réseau H forme un véritable barrage de18 lignes telluriques devant le pourtour des bâtiments et le visiteur les enregistrera comme un obstacle invisible. S’il fait le tour du bâtiment en se maintenant sur les lignes en question il commencera à traîner les pieds qui lui paraîtront de plus en plus lourds et sembleront vouloir coller au sol. Ce cordon d’obstruction ou de protection se détecte autour d’autres pyramides comme Sakkarah ainsi que les temples de Louksor, Karnak, Thèbes et Kom-Ombo ou la Vallée des rois autour de certains tombeaux. Ces lignes du réseau H, condensées à l‘extérieur des murs comme pour les protéger et repoussées au bord des édifices, sont absentes à l‘intérieur des bâtiments. L’intérieur des sanctuaires jouit ainsi d’immenses zones neutres, exempt de rayons H. Les grandes ouvertures, les passages intérieurs ont des seuils très larges sur lesquels viennent se serrer chaque fois sept rayons H, présentant également une sorte de frein.»

Les 18 lignes du réseau Hartmann se retrouvent à l'extérieur du bâtiment.
Dans le rituel de fondation des temples la polarisation de la pierre et de la brique jouait un rôle important. «Dans les temples on peut constater que les polarités positives sont placées à l’extérieur et les polarités négatives sont tournées vers l’intérieur. » Sans doute, cette façon de faire permet-elle une neutralisation naturelle des effets perturbant de l’environnement. On a observé que les AE faisaient correspondre la polarité Nord au positif ainsi qu’à l’Ouest. La polarité sud au négatif et à l’Est. Les textes anciens et les observations attestent du choix et du jour propice pour poser la première pierre en fonction de la position des astres. Dans les hauts-lieux, les croisements du réseau H indiquent une radioactivité augmentée jusqu’à 50%.

Selon Schwaller de Lubitz, le temple d’Amenhotep, troisième du nom situé à Louxor reconstitue toute l’ossature d’un squelette humain. « Certaines mesures de vitalité du lieu peuvent être exactement juxtaposées aux vibrations humaines, de 6500 unités pour le lieu correspondant au plexus solaire jusqu’à18000 unités pour la vibration la plus haute correspondant au Naos du temple ou " troisième œil" humain. Cet emplacement n’était destiné qu’au Pharaon et au prêtre. Aujourd’hui encore, cette puissante vibration ne permet pas d’y stationner trop longtemps. Entre les têtes de Sphinx qui relient Louksor à Karnak, on constate que les polarités " positives" se trouvent devant, vers la tête des sphinx, en direction des visiteurs. Le bio mètre confirme une vibration physique de 9500 unités, accompagnée par une émission vibratoire qui touche le corps énergétique d’environ13500 unités.»
« Au Temple d’Hathor à Dendérah, l’étude de la géobiologie nous apprend que sur ce Haut-lieu égyptien quatre cours d’eau souterrains coulent tout autour du temple. Ils sont si bien dirigés en canaux réguliers qu’il ne peut s’agir d’un phénomène naturel. Ceux-ci se croisent dans les quatre angles....Certains points précis, notamment sous un portillon au croisement de deux canaux, se côtoient deux fois sept rayons H serrés, à produire un" effet de menhir ". Ce concentré géophysique est suffisamment violent pour être ressenti. Tout autour de ce grand temple on retrouve, comme toujours les 18 lignes du réseau H qui lui font barrage et protection....Certaines chambres latérales des deux côtés du temple dégagent une ambiance particulière qui troublent les pensées. Dans ces chambres le réseau H présente des mailles follement resserrées dans toutes les directions et les mesures du bio mètre tombent en dessous de 1000 unités, vibration qui correspond à celle du passage à la mort ou du néant. Le croisement des forces et la force du croisement ne se retrouve pas seulement en géobiologie, ce schéma s’applique également à travers toute la pensée pharaonique, élaborée sur ce principe universel, que ce soit en mathématique ou en médecine. Dans ces locaux, les mesures du bio mètre réagissent fortement avec de grandes variations. Devant l’"oiseau âme", on mesure 1000 ub mais devant les décorations représentant les " Neter " de la cosmogonie égyptienne jusqu’à 20 000 unités.» Ici, les lois de la physique semblent être dépassées !!!Dans le domaine des ondes vibratoires, des études expérimentales ont été menées notamment au temple de Dendérah au niveau du zodiaque au plafond de la galerie supérieure. L’orientation et
l' angle des constellations auraient un impact direct sur la santé humaine. Là encore, les architectes utilisaient le pouvoir des champs magnétiques naturels afin d'amplifier certaines polarités. »
En Haute Égypte le temple de Kom-Ombo consacré à la triade Sobek, Hathor, Khonsou et construit par Ptolémée, sixième du nom, possède toutes les caractéristiques pour être considéré comme un véritable lieu de guérison. « En s’appuyant sur la biométrie, les énergies telluriques analysées semblent être très puissantes et capables de renouveler les forces vives de n’importe qui.» Par ailleurs, parmi les reliefs qui ornent les parvis du temple on a retrouvé la représentation de différents instruments de chirurgie, ce qui laisse à penser que ces temples étaient bien plus que des temples. « Une statue d’Horus " positive" a une concentration de plusieurs rayons H sous son centre et émet une énergie permettant à l’homme de se recharger en quelques instants. Par contre Sobek," négatif " aura les rayons H écartés dans les quatre directions, ce qui pouvait permettre à l’homme stressé de se décharger. Dans les deux cas il s’agit de connaître son complément contraire pour rétablir l’équilibre.»

De nombreux obélisques (appelés Tejen) furent taillés dans les carrières de granit rouge d’Assouan. Leurs cotés étaient généralement en partie ou complètement recouverts d’électrum, un alliage fait de quatre parties d’or pour une partie d’argent. Les sources égyptiennes originales rapprochent ces aiguilles à l’image pétrifiée des rayons du soleil. Elles symbolisaient également de par leur forme au sommet, le pyramidion, la colline originelle ou Benben puis à l’oiseau Bennou, âme d’Osiris. Ils furent érigés en des points ou les énergies telluriques possédaient une force particulière. Certaines pierres surtout les granites, peuvent servir de condensateurs naturels à cet invisible fluide du sous-sol. Sur document l’obélisque de la place de la Concorde " prélevé " du temple de Ramsès, deuxième du nom à Louksor vibre à 18000 ub. Furent-ils donc des catalyseurs d’énergie terrestre ou au contraire des équilibreurs d’énergie? Ou peut-être de la géo-acupuncture. D’un point de vue vibratoire, le sous-sol est formé de strates de polarités différentes. Cette technique consiste à inverser les polarités naturelles là où c’est nécessaire en enfonçant dans le sol un capteur jusqu’à la couche positive afin de modifier en surface l’ambiance d’un lieu ou à re polariser un site positivement en annihilant la nocivité du réseau Hartmann.
Magnétisme et tellurisme constituent le système nerveux de la terre.

Les mesures et commentaires biométriques des sites ont été réalisés par B. Merz. Des niveaux sensiblement identiques ont pu être détectés sur photos.
Les observations radiesthésiques relatives à la Pyramide de Khoufoui proviennent d'expériences rapportées par Sevranx et associés.